L'Horreur de la barbarie pratiquée sur les chiens
en Chine et au Vietnam.
publié le 5 avril 2011.
Nous avons tous entendu parler un jour du trafic des chiens dans le monde,
sans vraiment savoir précisément où, comment, pourquoi, etc...
Mais le dimanche 3 avril 2011 TF1, dans son émission SEPT à HUIT, diffusait un reportage sur le sujet.
Très difficile à regarder, mais utile pour que chacun prenne conscience de la cruauté de l'homme et de l'horreur
pratiquée sur terre encore en 2011.
http://videos.tf1.fr/sept-a-huit/trafic-de-chiens-6344678.html
Les principaux coupables restent les chinois et les vietnamiens, mais on apprend également que les thailandais participent
à tout cela et que les japonnais, laissant faire le sale boulot aux autres,
sont de la partie, en étant les principaux clients pour la peau des chiens, il faut croire que le massacre des dauphins
et des requins juste pour leur aileron de leur suffit pas, ils ont semble t-il une soif dévorante de sang et de barbarie...
Aucune coutume ou tradition historique ne peut justifier de tel actes,
et au regard de leur pratiques une seule justice apparait à la hauteur :
leur faire subir à tous la même chose, parquer en petites cages, massacrer au couteau, à la machette,
tous ces humains, qui n'ont au final rien d'humain, d'animal, rien de respectable en eux...
Ils ne méritent vraiment pas de vivre sur notre planète.
Laurent POULET.
article ci-dessous, publié par One Voice.
Mettre fin à la barbarie en Chine et au Vietnam
La cruauté avec laquelle les chiens et les chats destinés à la consommation sont traités en Chine et au Vietnam est intolérable.
Les enquêtes menées dans ces pays sont accablantes. Comme tous les animaux, nos compagnons à quatre pattes méritent,
dans ces pays aussi, d’être traités avec respect.
One Voice accompagne les militants locaux afin que les gouvernements adoptent une réglementation assurant leur protection.
En Asie, manger du chien ou du chat fait partie de la tradition culinaire.
Si certains pays l’ont interdite, comme Hong Kong depuis 1950,
Taiwan ou les Philippines, la Chine et le Vietnam, notamment, la perpétuent.
Pour la justifier, ils avancent un certain nombre de croyances, sans fondements scientifiques reconnus,
sur les bienfaits de la consommation de viande de chiens et de chats pour la santé humaine.
Au nom de cette tradition, les plus proches compagnons des humains sont soumis aux pires horreurs et à une brutalité sans limite.
A l’occasion d’une enquête sur le trafic de bile d’ours au Vietnam, One Voice découvre l’enfer vécu par les chiens.
L’association diligente aussi une enquête en Chine : même constat dramatique.
Aucune loi ne protège ces animaux et la notion de bien-être animal n’existe tout simplement pas.
Pour répondre à la demande, des élevages intensifs de chiens se sont développés.
Aucune règle, aucune déontologie ne régit ces établissements. Les conditions de vie sont déplorables.
A l’instar de nos propres élevages industriels, les besoins physiologiques et comportementaux des animaux ne sont pas respectés.
Les chiens sont entassés dans des cages minuscules. Ils se battent et se blessent gravement.
Nombre d’entre eux ne peuvent résister à la faim, la peur et la maladie.
Ils meurent sans avoir connu le réconfort d’une caresse. Cette vie de misère est certes courte : la viande d’un jeune chien est préférée
à celle d’un adulte. Au Vietnam, on tue les chiots de 8 à 10 mois pour avoir une viande plus tendre, et en Chine le Saint-Bernard
est tué dès ses 4 mois. Toutes les races sont concernées. En Chine, le Saint-Bernard a longtemps été prisé pour son rendement.
Aujourd’hui, les producteurs préfèrent des chiens moins coûteux à nourrir.
Au Vietnam, ce sont des croisements de race qui fournissent la plus grande partie de la viande.
En dehors de ces élevages concentrationnaires, des particuliers en élèvent pour augmenter leurs revenus, et les chiens errants,
même avec collier, sont eux aussi destinés à la boucherie. Des ramasseurs professionnels récupèrent en masse ces derniers
et ceux dont les propriétaires ne veulent plus. Pour tous les chiens qui résistent à ces conditions de vie sordides, le pire est à venir.
La barbarie en action
Il y a d’abord le transport jusqu’aux lieux d’abattage, bien souvent le restaurant.
Lors de l’enquête en Chine, les enquêteurs ont vu un camion transportant un millier de chiens véritablement entassés les uns sur les autres
dans de petites cages grillagées, embarqués pour un voyage de 48 h, sans arrêt, urinant et déféquant sur eux, exposés aux intempéries,
privés de nourriture et d’eau. Dans les rues chinoises ou vietnamiennes, les animaux sont transportés sur les porte-bagages des motos,
eux aussi comprimés dans des cages trop petites et sans la moindre considération.
Mais c’est dans la mort que culminent la barbarie et la cruauté. Toujours selon les croyances, l’animal doit être saigné lentement
afin d’obtenir une viande riche en adrénaline réputée rendre les consommateurs plus virils.
Bien sûr, les animaux ne bénéficient d’aucun étourdissement et c’est tout à fait conscients qu’ils sont martyrisés.
Une fois livrés dans les restaurants ou les boucheries, les chiens sont attrapés au lasso ou acculés avec un bâton contre un mur
et assommés avec un banal marteau. Le bourreau doit frapper à plusieurs reprises sur la tête des chiens dont le sang gicle abondamment.
D’autres chiens assistent au carnage. Ils urinent de terreur. Une fois assommés, mais encore vivants, les chiens sont saignés avec un grand
couteau enfoncé dans la trachée-artère. Ils sont ensuite ébouillantés, écorchés à la lame et jetés dans un feu de paille
pour brûler le surplus de poils. Puis ils sont dépecés.
De telles scènes sont visibles sur les trottoirs. Hommes, femmes et enfants assistent à la tuerie (cf. Enquête en Chine et Enquête au Vietnam).
En Chine, par exemple, le chien est tué sur place après avoir été présenté à la clientèle.
Les chats pas mieux lotis
Les chats ne connaissent pas un meilleur sort. Si longtemps leur consommation en Chine a été l’exclusivité de la région de Canton,
certaines estimations font aujourd’hui état de 4 millions de félins consommés par an dans ce pays.
Juste avant les J.O de Pékin, la ville s’est livrée à un véritable nettoyage embarquant tous les animaux errants et incitant les propriétaires
à s’en séparer en raison « d’hypothétiques » dangers pour la santé humaine.
Ces animaux ont été entassés dans des fourrières de fortune, véritables mouroirs, avant d’être euthanasiés.
Pour une loi de protection des animaux
Un tel sort aux animaux familiers n’est certes pas la panacée de la Chine et du Vietnam.
La Corée du Sud, pays ô combien développé, envisage d’accorder le statut d’animal de boucherie au chien,
légalisant ainsi le commerce de sa chair. Les liens qui unissent le Vietnam et la France, nous portent à croire qu’il est possible
de faire bouger les choses. En Chine, une enquête de 2004, menée avec la participation de One Voice, a révélé que plus des trois quarts
des Chinois seraient partisans d’une loi de protection des animaux. Des militants s’y mobilisent pour le bien-être des animaux.
Dans ces deux pays, One Voice s’est engagée auprès des militants en finançant des programmes de formation et en nouant des partenariats,
par exemple avec l’association ActAsia en Chine. Elle multiplie également les actions auprès des gouvernements de ces pays pour interpeller
et faire pression afin que ceux-ci interdisent cette industrie et ce commerce et qu’ils protègent de la cruauté ces animaux.
Elle œuvre pour que ces pays, à l’image de Hong Kong, des Philippines et de Taiwan, interdisent la consommation de leur chair,
et protègent tous les animaux.
Un représentant de la Division Vétérinaire du Département de l’Agriculture, de la Pêche et de la Conservation du
Gouvernement de Hong Kong a publiquement déclaré que les chiens ne pouvaient en aucune façon être élevés
et abattus « décemment » pour leur viande.
MISE À MORT : L’HORREUR
Ci-après, une liste non exhaustive des techniques utilisées pour donner la mort aux chiens, ou chats, qui seront ensuite consommés :
- La strangulation :
On attache une corde autour de leur cou, et on tire très lentement... pour l'étrangler afin que la mort ne surviennent pas trop tôt.
En même temps, à l'aide d'un couteau, on découpe des morceaux de chair sur le chien encore vivant!...
- L'ébouillantage :
On prend des chiots ou des chatons, on les attachent près d'une marmite d'eau chaude, et on les jette l'un après l'autre.
L'animal, hurle son agonie, l'eau étant maintenue à une température précise, pendant quelques secondes
(pour que celui-ci ne meure pas sur le coup).
Puis extrait de l'eau, il est écorché vivant. Enfin, sans peau et tandis qu'il respire encore, il est jeté dans un bac d'eau froide.
- La cage ronde :
On place l'animal dans une cage ronde faîte de fils barbelés. Puis, l'homme à l'aide d'un bâton, au bout duquel s'y trouve un nœud coulant
(pour y attraper la tête de l'animal sans ménagement). Un fois sorti, il est violemment battu avec un bâton muni d'un pic à son extrémité.
Pendant dix minutes, des coups lui seront donnés... Puis un coup lui sera donné sur la tête juste pour le rendre semi inconscient.
Et encore vivant, on le dépècera.
Le
Scandale des médicaments et des labos pharmaceutiques.
publié
le 12 juin 2011.
Lorsque déjà, comme moi
on évite les médicaments sauf vraiment cas de force
majeure,
il
suffit de prendre connaissance de la réalité des
médicaments, dans leur fabrication,
leurs
coûts de fabrication comparés à leurs prix de vente,
il
y a de quoi être à la fois effrayé et en colère
!...
toujours
les profits baffouant les principes éthiques et
de sécurité sanitaire.
à
tous ces laboratoires, leurs dirigeants et leurs
employés conscients de leurs propres agissements
:
il
faudrait simplement leur faire avaler tous leurs
médicaments de force et les laisser souffrir sans
intervenir...
comment
avoir confiance en un quelconque médicament ?
lorsque
l'on connait la vérité, c'est pratiquement impossible.
prendre
un médicament en revient presque à jouer à la roulette
russe !...
&
au final c'est une infime partie de tous les médicaments
existants qui reste à l'abri de tout soupçon.
Laurent
POULET.
Crédits photo : STAN
HONDA/AFP
C
DANS L'AIR >
10/06/2011.
Inquiétude autour des délocalisations de la
fabrication des principes actifs vers l’Asie, hausse des contrefaçons,
débat sur
la présence de parabène... Le contrôle et le contenu des médicaments sont
pointés du doigt.
L’Académie nationale de
pharmacie vient de tirer le signal d’alarme :
80 % des principes actifs des
médicaments occidentaux sont actuellement fabriqués en Chine et en Inde.
C’est
le cas, notamment, de la plupart des génériques, mais aussi du paracétamol qui,
depuis trois ans, est produit exclusivement hors du Vieux Continent.
Seules,
désormais, les phases finales - le conditionnement des comprimés, des gélules -
sont réalisées en Europe.
Une situation qui, selon l’institution, n’est
pas sans risque pour la santé publique.
Tout d’abord, parce que cet éclatement
de la chaîne de production rend difficile le suivi de fabrication des matières
premières
par les laboratoires pharmaceutiques ou les autorités sanitaires.
Et
dans les faits, les sites de production situés dans ces pays d’Asie sont, en
moyenne, cinq fois moins inspectés que ceux existant en Europe,
explique
l’Académie nationale de pharmacie.
D’autre part, cette délocalisation de
fabrication poserait des problèmes de qualité.
Ainsi, sur les vingt sites
s’étant vus refuser ou retirer par l’Europe leur certificat de bonnes pratiques
de fabrication au premier semestre 2010,
75 % seraient des fournisseurs indiens
ou chinois.
Enfin, cette situation soulève la question de l’approvisionnement des
traitements et des possibilités de pénurie.
L’Agence française de sécurité
sanitaire des produits de santé a d’ailleurs alerté en ce sens.
Elle aurait
recensé, au premier semestre 2011, trente et un risques ou réelles ruptures de
stock, contre quatre un an auparavant,
et deux au premier semestre 2009.
Parallèlement, l’Union européenne a elle décidé, fin mai dernier,
de
renforcer sa législation pour lutter contre les médicaments falsifiés ou
contrefaits.
Un fléau qui toucherait 1 % à 3 % des remèdes utilisés en Europe.
origine
texte :
france5.fr
>
résumé émission C dans l'air du vendredi
10 juin 2011.
LE
FIGARO.FR >
10/06/2011.
Les principales inquiétudes proviennent des produits fabriqués
en Chine ou ou en Inde.
Faute de moyens, la qualité des substances fabriquées dans les pays
émergents
n'est pas vraiment suivie par les autorités sanitaires
occidentales.
Ce n'est pas stipulé sur la boîte, mais la plupart des médicaments ne sont
plus «made in France».
Comme les vêtements et les jouets, ils sont
désormais fabriqués en Chine ou bien en Inde.
Actuellement, 80% des principes
actifs entrant dans la composition des médicaments vendus en Europe proviennent
de ces deux pays,
contre 20% il y a trente ans, ont précisé des spécialistes
lors d'une conférence de presse organisée mercredi par l'Académie de pharmacie.
C'est le cas par exemple de la plupart des génériques.
Le paracétamol,
antalgique parmi les plus populaires, est même désormais produit exclusivement
hors Europe.
Seules les phases finales de fabrication (conditionnement en
comprimés, gélules…) sont effectuées sur le Vieux Continent.
Or, cette mondialisation induit des risques majeurs pour la santé publique,
alerte l'Académie de pharmacie.
D'abord, la qualité des principes actifs
fabriqués dans les pays émergents n'est pas vraiment suivie par les autorités
sanitaires européennes
et américaines, faute de moyens. La Direction européenne
de la qualité du médicament (DEQM), organe du Conseil de l'Europe,
procède à une
trentaine d'inspections annuelles hors Europe, un chiffre à rapporter au millier
de sites de production en Chine et en Inde.
Ceux-ci sont inspectés en moyenne 5
fois moins que les sites européens, selon l'Académie de pharmacie.
En France,
les rares producteurs de ces principes actifs sont eux contrôlés régulièrement.
«Nos procédures de fabrication sont inspectées par l'Afssaps tous les deux ans.
Un de nos sites a été contrôlé sept fois par la FDA (agence américaine du
médicament NDLR)», assure David Simonnet,
président du directoire d'Axyntis,
leader français du secteur.
Les risques de ces contrôles insuffisants ne sont pas seulement théoriques.
En 2008, une héparine frelatée fabriquée en Chine a été à l'origine d'au moins
80 décès aux États-Unis.
Au niveau européen, la DEQM a suspendu une vingtaine
d'autorisations d'importations de principes actifs au premier semestre 2010
pour
problèmes de conformité, les trois quarts venaient de Chine ou d'Inde.
Au total,
1 à 3% des médicaments vendus légalement seraient falsifiés.
Autre problème, la fourniture des principes actifs
peut ne plus être assurée à la suite d'événements géopolitiques
ou de
catastrophes naturelles.
Ainsi, une cinquantaine de sites de chimie sont à
l'arrêt à cause du tremblement de terre de Fukushima, au Japon, le
11 mars.
Au final, la dépendance conduit à un nombre croissant de pénuries
touchant diverses molécules: technétium 99
(un produit de contraste en
radiologie), voire même des chimiothérapies.
"Au 1er semestre 2009,
l'Afssaps a émis 2 messages d'alerte sur un risque de rupture de stock.
Le
chiffre est passé à 4 pour le premier semestre 2010, 31 pour le 1er
semestre 2011", souligne David Simonnet.
Une récente directive européenne
renforce le contrôle que les laboratoires doivent exercer auprès de leurs
fournisseurs hors union
européenne. L'Académie de pharmacie formule une dizaine
de propositions.
À commencer par l'établissement d'une liste des principes
actifs indispensables que la France doit avoir à sa disposition ;
et une forte
incitation des décideurs privés et publics à relocaliser la production des
matières premières en Europe.
origine
texte : lefigaro.fr
>
mondialisation : les risques du médicament, par
Sandrine Cabut le 10
juin 2011.
DSK : Halte au Sketch !...
publié le 18 septembre 2011.
C'est navrant que l'on parle autant de Dominique Strauss-Kahn, depuis des mois, il y a vraiment des choses plus graves,
plus importantes en France et dans le monde. Et franchement ça me fait chier d'en parler moi aussi, mais trop c'est trop !
Lionel Jospin a choisit en 2002 de se retirer définitivement de la politique pour des faits bien moins graves que ce que l'on
reprochent à DSK.
Monsieur Jospin a vraisemblablement, lui, une honorable vision de la politique, comme beaucoup plus devraient l'avoir.
Que l'on soit d'accord ou pas avec ses idées, il a apparement, ses actes le prouve, un grand respect pour la fonction politique.
DSK ne devrait-il pas en prendre exemple ?
Si l'on suit la logique de ce que l'on voit et de ce que l'on entend ne devrait-on pas lui offrir une médaille,
l'indemniser financièrement pour ce qu'il a subit le pauvre DSK !...
On devrait même, lorsqu'on l'entend lui, lorsqu'on entend ses soutiens du parti socialiste :
le nommer directement Président de la République, sans aucune élection, ce serait normal non ?!... Le Pauvre...
>>> Halte au sketch !... c'est une honte !
Quelques soient ses qualités professionnelles lorsque l'on aspire à représenter la France
les valeurs morales ne doivent elles pas être primordiales ?
MANIPULATION, COMPLOT ? :
Même si c'est vrai, les faits sont là il a eut une relation ! C'est dans le rapport du procureur Américain,
il ne peut s'en prendre qu'à lui même ! personne ne l'a forcé à avoir cette relation. ou alors qu'il porte plainte pour viol lui!
donc fin de la discussion.
SON INTERVENTION au 20h de TF1 ce dimanche 18 septembre 2011 :
- "faute morale" ce sont ses mots : c'est un peu léger...
- aucune excuse : ce n'était pas la peine qu'il s'exprime alors.
- il dit avoir souffert, que c'était très dur : on ne peut pas mettre en doute tout cela, mais relation il y a eut, donc c'est normal,
et pas grave qu'il ait souffert. et franchement dans le monde il y en a qui souffrent beaucoup plus pour beaucoup moins.
( ce n'est pas de la démagogie de dire cela, c'est simplement prendre conscience des réalités de notre monde )
- Martine Aubry un soutien apparemment sans faille : donc elle devrait automatiquement être éliminée de la présidentielle.
- il n'écarte pas un retour en politique : il ne devrait même pas l'imaginer 1 seule seconde, ou alors je n'ai manifestement
pas la même définition des valeurs de la politique que lui. Car plus que les affaires d'argent dans la politique,
à mes yeux les affaires morales sont beaucoup plus grave, donc...
J'espère donc qu'à présent c'est la fin de son exposition médiatique et qu'il va enfin faire profil bas,
et que l'on ne le verra plus dans la vie politique Française sous quelques forme que ce soit.
La question à se poser est simple :
relation sexuelle consentie ou pas, les faits avérés et vérifiés c'est qu'il y a eut une relation sexuelle!
donc la question est :
accepte t-on que Monsieur Strauss-Kahn, responsable politique puisse avoir des relations sexuelles extra-conjugales ?
( est-ce un comportement moralement acceptable pour un responsable politique ? )
point final !
Laurent POULET.
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