publié le mercredi 9 janvier 2019.
La quête d’un
Fils pour connaître la vérité
sur le décès
de son Père
après une
chute dans une cage d’ascenseur
sans cabine...
2019 : 3ème ROUND !
(1er ROUND = l’enquête. / 2ème
ROUND = la procédure pénale.)
À présent, 3ème
Round en effet car c’est loin d’être
terminé !,
n’en déplaisent à tous les coupables directs ou indirects du
décès de mon Père.
Je ne suis pas en phase de désarroi mais toujours en phase de colère et animé d’une farouche
détermination !
J’espère que cet article
de Nice-Matin paru le lundi 7 janvier 2019, (accès article Nice-Matin : CLIQUEZ ICI)
va faire bouger les choses, réveiller certaines consciences.
J’espère que cet article sera un nouveau levier pour
connaitre la Vérité sur le décès de mon Père,
afin de savoir qui a
fait quoi ! qui n’a pas fait quoi ! qui aurait dû faire quoi !
Quoiqu’il arrive je ne lâcherai rien ! Je ferai tout ce
qu’il faut pour obtenir les réponses.
Je dis bien tout !!!
Et il faudra déjà que monsieur Jean-Claude GEORGES (Fondateur – Président Directeur Général de la
société d’ascenseur ILEX)
parle, dise tout et dise la vérité.
N’hésitez pas à faire
passer.
J’ai l’intention d’en parler au plus grand nombre,
d’intéresser un maximum de médias pour qu’il y en ait au moins un qui enquête,
qui cherche, qui gratte et creuse partout... Pour déterrer la vérité.
Merci.
Laurent POULET,
fils d’André POULET (1943-2010).
MON ANALYSE
& MES INVESTIGATIONS
au 1er
novembre 2018
Et voici à
présent ci-dessous, du concret, des faits,
> mon Analyse & mes investigations, à ce jour :
un petit extrait.
Je suis le fils de monsieur
André POULET décédé le 17 juillet 2010 suite à une chute mortelle dans une cage d’ascenseur,
la cabine étant absente, dans un immeuble de la commune de Le Cannet.
Je m’interroge et cherche à
comprendre... Car après 7 ans d’enquête,
4 ans de mise sur écoutes,
4 expertises,
et après la mise en examen de la
société d’ascenseur ILEX,
l’audience au tribunal
correctionnel de Grasse a eu lieu le 18 avril 2018 avec au terme de cette audience l’annonce que la décision serait
rendue le 24 mai 2018 à 14h00.
Hors la raison de mon incompréhension
et de mes questions est tout ce qu’il s’est passé ou pas passé après cette
audience
du 18 avril 2018.
La décision finalement rendue
de relaxe pourrait être contestable, considérée injuste, mais dans un
déroulement « normal » je n’aurai eu aucune
raison de la contester,
dans un déroulement
« normal » je n’aurai pas jugé
nécessaire, je n’aurai pas éprouvé le besoin de me poser des questions sur cette décision.
Et je n’aurai surement pas été jusqu’à écrire au bâtonnier, comme je l’ai fait le 17 août 2018.
Mais force est de constater
que beaucoup de choses sont curieuses, troubles, inhabituelles, peu orthodoxes,
voir même extrêmement suspicieuses.
[...]
..., je découvre donc en détail le jugement du 24 mai 2018.
Et à ma grande surprise,
quelle stupéfaction ! (mis à part le jugement en lui-même
« Relaxe » avec la disparition du terme « au bénéfice du
doute !)
à la lecture du jugement à
aucun moment il n’est fait mention :
1/ de la modification de « la scène de
crime »,
c’est à dire le frein qui a été resserré entre le jour de l’accident et le jour de la première expertise,
modification qui a été prouvée par l’enquête, par la dernière expertise photos à l’appui.
2/ des détails de la dernière expertise
et d’entre autre la mise en situation qui a été réalisée en positionnant le frein tel qu’il était le jour de l’accident (et donc différemment des expertises
précédentes) qui a exactement reproduit les mêmes disfonctionnements que ceux du jour de l’accident, prouvant ainsi une fois de plus que la
cause de l’accident était le desserrage excessif du frein. Desserrage tellement excessif qu’il prouve que ce frein n’a pas été contrôlé tous les 6 mois
comme la réglementation l’exige. (rapport du 20 février 2014)
3/ le jugement mentionne et s’appuie sur un témoignage attestant que l’ascenseur fonctionnait normalement le jour de l’accident
mais ne mentionne pas les témoignages attestant que l’ascenseur ne fonctionnait pas normalement le jour de
l’accident.
Par ailleurs à aucun moment dans ce jugement n’est
évoqué le rappel des faits réaliser dans son ordonnance de renvoi devant le tribunal
correctionnel du 30 juin 2017, par monsieur le Juge d’Instruction, monsieur Jean-Pierre MURCIANO, qui a été sur l’affaire depuis le premier jour
et qui par conséquent la connait mieux que quiconque. C’est d’ailleurs la seule et unique personne à avoir été sur cette affaire du premier jour
jusqu’à l’ordonnance de renvoi : du 17 juillet 2010 au 30 juin 2018.
Monsieur MURCIANO est
incontestablement la personne la mieux placée pour parler du dossier.
Et on ne tient absolument pas
compte de ce rappel des faits rédigé par un juge d’instruction.
Comme si il n’avait jamais existé ! à croire que le travail réalisé par ce juge d’instruction, son cabinet et l’ensemble des services intervenants
pendant 7ans n’a aucune importance, ne mérites pas que l’on s’y attarde !...
Comment est-il possible que l’on néglige le travail du
juge d’instruction ?
Dans cette logique, il ne fallait alors pas accepter ce renvoi
au tribunal correctionnel étant donné que c’est ce même juge d’instruction
qui l’a ordonné. Une fois de plus on choisit de retenir uniquement ce qui n’est pas défavorable à la société
Ilex.
Bien sûr, la justice va
répondre à cela que l’on ne peut prendre en compte que les arguments avancés par les parties en 2018.
Mais justement, mon avocat et le procureur se sont appuyés sur le travail de monsieur MURCIANO et sur son ordonnance de renvoi.
Et d’autre part, la dernière expertise (défavorable à la
société Ilex) ne reçoit pas le même
crédit que les autres expertises,
elle n’est d’ailleurs pas entièrement prise en compte (la mise en situation de l’ascenseur aux conditions réelle dujour de l’accident n’est
pas prise en compte, elle n’est pas mentionnée comme si cela n’avait pas été fait par l’expert).
De plus, le jugement insiste
sur la dernière expertise (que je rappelle est défavorable à la société Ilex)
sur le terme « évoque l’hypothèse » !
Terme qui pourrait également être utilisé pour les autres expertises mais qui ne l’ai pas ! Car c’est sur ce terme, entre autre,
que s’appuie le jugement pour sa décision finale. Et monsieur TUCCINARDI évoque une « hypothèse » lorsqu’il
découvre les photos
du jour de l’accident. Ce n’est alors plus une « hypothèse » pour lui une fois
qu’il réalise son expertise sur le terrain.
Deux poids deux mesures ! On choisit quelle hypothèse on veut retenir.
On ne retient pas l’hypothèse
(qui n’en ait pas une selon la dernière expertise) du frein cause de
l’accident.
Mais on retient l’hypothèse
du taux d’alcoolémie de la victime cause de l’accident.
Et on retient même
l’hypothèse d’une intervention extérieure, d’une ouverture volontaire de la
porte, en soupçonnant la victime.
[...]
En tous cas, j’espère obtenir
des réponses à mes questions comme expliquées précédemment et en
particulier :
Pourquoi la décision a été
rendue le 24 mai à 16h30 au lieu de 14h00 ?
Pourquoi le terme « au
bénéfice du doute » a t-il disparu à un moment donné ?
Pourquoi la presse a été
informée de la décision avant les parties ?
Pourquoi la presse a sorti
son article comme par hasard juste après l’expiration du délai pour faire
appel ?
(possibilité de faire appel jusqu’au 7 juin 2018 minuit inclus, l’article est paru le 10 juin 2018).
Pourquoi le jugement du 24
mai ne tient aucunement compte de la modification qui a été réalisée de la
« scène de crime » ?
Pourquoi le jugement du 24
mai ne tient pas compte de la totalité de la dernière expertise ?
Pourquoi le jugement du 24
mai ne tient pas compte du travail de 7 années du juge d’instruction ?
Qui a fait quoi dans cette
procédure ?
Qui n’a pas fait quoi dans
cette procédure ?
Qui aurait dû faire quoi dans
cette procédure ?
En vous remerciant par avance de l’attention que vous voudrez bien
porter à mes interrogations, à cette affaire.
Laurent POULET
téléchargez en PDF, la UNE du mercredi 9 janvier 2019.
25 juillet 2019
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publié le dimanche ........................ 2019.
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